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Ici et là ...

30 juillet 2006

La guerre

Elle a 5 ans.
Cette année, elle allait rentré au CP, ou du moins l'equivalent du CP pour son pays.

Elle devait y aller ...

Sa famille n'a jamais été tres riche, mais a toujours pu vivre et parfoi même se faire plaisir.
Elle vivait heureuse et avait tout pour vivre heureuse, dans le bonheur de la simplicité, et le quasi-nirvana de l'absence presque total e desir.

Elle devait être heureuse ...


Ce matin, elle a été reveillée plutot.
"Papa maman c'est quoi ce drole de bruit ?"
Pas de reponse.
"COURS"
seule reponse.


Elle aimait courir ...


Maintenant, elle pleure.
Son pere est devant elle.
Sa mere est a coté.
De son pere, elle ne voit que la tete.
De sa mere, elle ne trouve plus les jambes.


Elle ne savais pas ce qu'était une bombe.


Elle pleure encore.
Elle appel son grand frere.
Mais il n'est pas la.
"sur le front" qu'elle entendait.
"c'est quoi le front ?"


Elle ne savait pas ce qu'était la guerre.


Elle pleure encore.
Prés d'elle, un soldat mort.
Le fusil a la main.


Elle savait ce que c'était, un fusil.


Elle entonna son chant préféré.
Celui que lui chantait sa maman quand elle était triste, qu'elle ne dormait pas.


Elle savait tenir un fusil.


Elle aimait vivre avec sa famille.
Elle aimait courir, chanter, jouer dans l'herbe.
Elle n'avait pas apprit a lire ni a ecrire encore.
Mais depuis sa naissance, elle avu les fusils.
Elle a vu les mort, ca, elle savait ce que c'était.


Elle savait ce qu"était une gachette.


Elle a vecut 5 ans, dans le bonheur, pensant que la guerre n'était autre qu'un mode de vie, ne sachant même pas que c'était la guerre.
Elle a apprit a 5 ans ce que c'était.
Elle a vecut 5 ans.



Elle savait appuiyer sur une gachette.






Eux, ils savent ce que c'est, la guerre.
Il savent ce que ca vaut, ils savent l'argent que ca rapporte.
Qu'ils la fassent, ou qu'ils la laissent faire alors qu'ils pouraient l'empecher, ils savent bien ce que ca rapporte.
Il savent ce que ca coute aussi.
En argent, surtout.
En vie humaine, aussi.
En nombre de vies humaine, surtout.
Ils ne savent ce qu'est la vie.
Ils ne savent ce que vivent les ignorants.
Ils ne savent le malheur qu'ils font.
Ils ne comprenent pas que l'argent est aussi ephemere que la vie.

Ils mourront eux aussi.

Ils mourrons dans leur stupidité.
Ils mourront dans leur avidité.
Ils mourront dans leur cupidité.
Ils mourront dans le monde qu'ils ont créé.
Mais jamais, jamais ils ne sauronsle malheur qu'ils ont créé.
Jamais ils ne comprendrons qu'ils sont les inventeurs de la tristesse.
Jamais ils ne comprendrons la vie.


Amis, puisque nous vivons en plein chant de mort.
Alors, chantons gaiement.
Sortons nos instruments, jouons, jouons encore, jouons a tue-tete, jusqu'a en perdre la tete,
saoulons les, ils n'aiment pas notre musique, mais nous l'aimons, jouons plus fort qu'eux !
Nous aimons cette musique de bonheur, de joie, de gaieté,
crescendo, forte, allez, allez !
Allez, chantons l'unité, nargons les, chantons le bonheur.
Crescendo, fortissimo, chantons, chantons, surpassons leur son horrible et carré !
Chantons la joie, chantons la vie.
Amis, freres, soeurs, crions haut et fort.
Qu'ils se battent et fuiyons.
Fuiyons en chantant.
Encore et encore.

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27 mai 2006

Et enfin, tu es la ... Toi, face a moi, Toi même

Et enfin, tu es la ... Toi, face a moi, Toi même que j'attendais, Toi dont je revai, tu es en face de moi, tenue debout, silencieuse ... Que penses-tu ? Que vas-tu dire ? Que devrais je te dire ... Depuis longtemps je reve et je craint ce moment, je l'attend et le rejette, l'envi et le repousse ... Depuis si longtemps que je t'attend, et tu es la, seule, en face de moi ... Alors tout ce dont je reve, tout ce que je pourai faire, oui, tout ... Je doit encore le contenir, peut être a jamais, peut être pas ... Comment me vois tu, la ? Que penses-tu la ? Me vois-tu penser ? Me vois-tu t'aimer ... Saurais-tu donc ce qu'il va advenir de nous ... De moi ... Ou bien es-tu innocente de tout cela, ou bien, toi, a ce moment preci, ne vois-tu aucune difference avec les autres moment ou nous etions seuls ... Ou bien aurais-tu les mêmes pensées que moi ... Oh oui si seulement, si seulement tu pouvais faire le pas, si seulement je pouvais te cacher ma miserable faiblesse qui m'empeche de te reveler la seule pensée qui soit vraiment importante a mes yeux, celle qui faitque je suis ainsi avec toi, celle qui fait que tu es la avec moi, celle qui m'a fait faire tout ce que j'ai pu faire pour toi ... Crois tu vraiment que je soit ainsi avec n'importe qui ... ? Si tu le crois, alors c'est bien, oui, ca l'est, mais c'est faux ...Si seulement au moins tu avais la même pensée que moi, si je le savais, alors tout serai plus facile ... Alors maintenant, vraiment, je doit ... Dois-je faire ou dois-je dire ... Que penserais tu de quoi ... Ces instants ... Pourquoi donc dois-je les aimer, alors qu'ils me torturent tant, comment aimer ces pensées qui me font si mal ... Non, je doit y mettre fin maintenant ... Mettre fin à ces nuits blanches, a ces journées mornes ... Je dois te le dire maintenant, j'ai besoin de tendresse, j'ai besoin de ta tendresse, j'ai besoin que tu m'aimes alors s'il te plait, s'il te plait, ne part pas apres cela, ne t'en va pas ... Reste avec moi, et prend ma main, s'il te plait, prend ma main, et embrasse moi ...

 

-Je t'aime

3 avril 2006

L'amitié

 Commençons par remonter le temps en se basant sur une réflexion qui, si je me souviens bien, est fortement inspirée de Berxon.
Remontons donc jusqu'a la préhistoire et observons le comportement naturel des Hommes. A cette époque, comme le dit, à raison, Berxon, ont commencé à fleurir les premières petites sociétés, qui étaient plutôt des groupes d'hommes.
Ces sociétés, ces groupes, ces relations, n'ont pas été créés parce que tel homme en aimait un autre, il n'y avait dans ces rassemblements d'hommes aucune affection. Si les Hommes se sont rassemblés à ce moment, c'est parce qu'ils ont prit conscience de leur faiblesse physique et de leur dépendance les uns vis-à-vis des autres pour survivre face aux autres espèces, plus rapides, plus fortes, plus agiles ... Ainsi donc, a cette époque, les sociétés étaient un échange de bon procédés, ou chacun aidait son semblable tout en espérant (et sachant) bien que ce dernier lui viendrait en aide en cas de besoin. Et si un homme était peu prompt à aider l'autre, et bien il était exclu de la société.
C'est ainsi que l'espèce humaine s'est développée, les sociétés étant de plus en plus nombreuses et grandes, se sont rassemblées en d'autres sociétés, et le nombre croissant d'hommes dans les sociétés ont forcé la création d'états, de hiérarchies, et de règles.
Il s'est avéré qu'aux règles nécessaires à la bonne cohésion des sociétés se sont ajoutées des règles d'ordres morales. Ces règles ont été tellement inculquées à chaque génération depuis des siècles qu'aujourd'hui, elles nous paraissent totalement innées, voire génétiques, et nous ne voyons d'ailleurs plus les règles mais les conséquences de ces règles.
Ainsi, aujourd'hui, faire ce que nous faisions dans le passé est devenu totalement immoral.
Il est très mal aujourd'hui de ne fréquenter quelqu'un que pour ce qu'il a d'util et ce qu'il peut nous apporter (je parle en terme de choses primordiales bien entendu).
On en arrive ainsi, de manière pas très bien construite, comme d'habitude, à aborder la notion d'amitié.
Finalement, l'amitié n'est autre que la moralisation des premières sociétés. Là où, il y a quelques millions d'années, les Hommes se disaient clairement "je te viens en aide si tu me viens en aide", aujourd'hui, on dit "amis, à la vie, à la mort". Mais finalement, à quoi sert cette amitié ? L'amitié est vue par les amis en question comme une forme d'amour, qui consiste à vouloir absolument garder l'autre. Et pourquoi vouuloir absolument garder l'autre ? Parcequ'avec lui on est soit disant heureux, on passe du bon temps, mais aussi parcequ'il peut nous venir en aide en cas de problème.
Et bien sûr, nous, on lui rabache sans cesse que s'il va mal, on l'aidera de tout notre possible.


N'est-ce pas hypocrite de dire et même d'aimer réellement quelqu'un juste pour finalement profiter de ce qu'il peut nous apporter ?


En effet, si l'ami en question s'éloigne de nous, ou s'il ne nous vient justement pas en aide, ou si l'on finit par s'ennuyer a ses cotés, on s'éloignera alors de lui pour finalement tout oublier de lui. Plus généralement, si l'on ne peut plus rien tirer de cet ami, on ne s'en embarassera pas.
Là ou la chose est hypocrite, c'est que l'on se sent obligé de faire des milles et des cents et que l'on va jusqu'a promettre des choses qui sont fausses pour faire croire à un réel amour totalement désinteressé, car oui, c'est un amour désinteresssé que l'on prone à un ami, alors qu'en fait, on a vu ci-dessus qu'il n'en était rien. On promet, par exemple, que l'on serait prêt à tout pour aider un ami à s'en sortir.
Je peux concevoir que l'on soit prêt à mourir pour un ami dans l'optique suivante : on est tellement dépendant de lui, de son aide, que s'il meurt, on serait perdu, et donc il vaut mieux que l'on meurt soit même plutot que ce soit lui qui meurt. Maintenant, ne pas promettre que l'on ferait tout pour un ami. Je doute, personnellement, que je sois capable par exemple de finir à la rue pour le bonheur de mon amie, je doute que je sois capable de souffrir mentalement pendant une longue période pour un ami ... Et en fait, mais là ça va déjà plus loin, il me semble que l'on devrait arrêter l'aide que l'on offre aà quelqu'un à partir du moment même ou cette aide nous pénalise. Au-delà de cela, ça devient de l'hypocrisie, dont la moralisation extrême de notre société est responsable.


Finalement, l'amitié n'est qu'une pure hypocrisie à cause de la moralisation de la société, pour conserver le traditionnel "je te rends service si tu me rends service", à savoir, "je délire bien avec toi, donc je reste avec toi, mais si tu ne m'offre plus de bons moments, ciao", "je suis prêt a t'aider jusqu'à en souffrir, mais engage-toi à m'aider jusqu'à en souffrir toi aussi", accompagné de "je n'irai pas jusqu'à me sacrifier pour toi, et de toute façon je ne pense pas que tu te sacrifierai pour moi", qui au final, se résume par un "je te dis que je t'aime car si je t'avouais que je ne t'aimais que parce que tu m'es utile, je te perdrais et donc je ne pourais profiter de ton utilité", ce qui, bien sûr, est pensé dans les 2 camps.

Corrigé bien sympathiquement et spontanément par Akané (merci beaucoup !!) et édité par moi même

3 décembre 2005

Il est temps de l'expliquer aussi, celui là.

propos_prologue

 

Il est temps de l'expliquer aussi, celui là. Pourquoi cela alors que l'histoire était finie ? Pourquoi un prologue alors que ça semble bien s'intégrer ?

Pourquoi cela d'abord. A vrai dire, je ne le sais pas. Il faut rappeler que, maintenant, je fais ce blog d'abord pour moi (si ce n'est, parfois, exclusivement pour moi), et ensuite pour vous, bien que certains articles ne s'adressent qu'à vous. La réponse vient alors d'elle même : je voulais écrire ici ma vision de la fin de l'histoire.
Vous voyez alors apparaître la raison de l'appélation prologue. Ce n'est pas la fin de l'histoire mais bien ma vision. A la base, l'histoire devait prendre fin au finissement du tout premier dialogue, lorsque l'ange et l'humain voient un ange apparaître (c'est à ce moment que démarre le prologue, vous l'aurez noté), à partir d'ici, à chacun d'imaginer sa fin. Resteront-ils ensemble ? Ou pas ? Comment leur amour va-t-il intervenir ? Leur amour va-t-il tenir ? Il n'y avait pas d'énigme, chacun avait sa fin. La fin qui lui correspondait. Oui, la fin de cette histoire vient à l'esprit immédiatement je pense, et vient différement selon les esprits.
Une fin simple vient immédiatement à l'esprit, puis, une fin un peu plus compexe murit alors dans votre tête. Vous avez décidé qu'il se passe telles et telles choses, mais, dans l'immédiat, tout est très rapide, et vous pouriez écrire votre fin en deux lignes. Puis, elle murit, se développe (assez rapidement), et vous en arrivez à une fin telle que celle que je vous propose, ou plus développée (c qui n'est pas très difficile ^^).
Je pense sincèrement que, pour ceux qui, comme moi, ont vraiment prit l'histoire à coeur, ceux qui y ont vu un quelquonque symbole, une quelquonque ressemblance avec un évènement de leur vie (et n'ayant pas vécut la fin), pourront interpréter la fin qu'ils ont eu instinctivement de manière à étudier leur psychologie. Il me semble, et je vais paraitre pretencieux en disant cela, et la limite, c'est pas très grave, je suis prétencieux, il me semble que cette hisoire peut réellement être utile pour mieux se connaître, mieux connaître ses réactions, mieux savoir la vision que l'on a de l'amour, mieux savoir si l'on tend vers le pessimisme ou le réalisme (vous verrez dans ma fin que le réalisme est encore revenu en force, sans même que j'en ai conscience), mieux savoir comment l'on vit l'amour, et l'importance que l'on y accorde.

PS : Merci Cécile pour ta correction !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

3 décembre 2005

Alors, l'ange leur tendit la main. Ils sourirent.

prologue

Alors, l'ange leur tendit la main. Ils sourirent. Tous les deux. Ils comprirent alors dans ce geste qu'ils seraient tous les deux ensembles ... Encore ... Toujours.Le bonheur emplit leur coeur, et ils étaient prêts à se laisser emmener partout où l'ange le voudrait. Et il se laissèrent guider ...

Il traversèrent les ciels ... Le premier, le second, le troisième ... Ils arrivèrent dans le cinquieme ciel ...
Ils rentrèrent alors dans un palais. Le palais était immense, particulièrement en hauteur. Les parois étaient d'or. Elles s'élevaient à une hauteur impressionante qui pourrait donner au palais une froideur accablante ... Mais telle n'était point le cas, car les parois d'or rééquilibrait la froideur de la hauteur. Equilibre ... S'il y a un mot qui viendrait à l'esprit de n'importe quelle âme au premier coup d'oeil, c'est bien celui-ci ... Equilibre. Tout ici y était. Le froid et la hauteur compensé par la chaleur de l'or, chaque élément présent était purement symétrique, la pièce était symétrique, les allées étaient symétriques, la disposition des rares objets étaient symetriques, chacun des objets étant à son tour symétriques.Et la grandeur démesurée du palais était elle même compensée par le détail extrèmement fin et précis de chacun des motifs qui ornaient chaque mur, chaque pillié, chaque plafond et chaque sol de l'endroit.

L'ange les guidait. L'ange et l'humain constataient tous deux qu'ils tournaient autant à droite qu'à gauche, et, même si leur sens de l'orientation était quelque peu diminué à cause du nombre de changements de directions et de la grandeur démesurée du palais, ils avaient là, l'impression de parcourir autant de chemin d'un coté et de l'autre du centre du palais .

Au bout d'un temps, ils arrivèrent devant une porte.L'ange les laissa alors et la porte s'ouvrit.
Une grande pièce, symetrique, avec, au bout, une femme magnifique, se tenant debout.
Athena ... La justice de Dieu. Athena est une archange de premier ordre*, et pour cause, Il faut que Dieu lui accorde une confiance sans hésitation pour la nommer à ce poste.

Sans même qu'on leur dise, l'ange et l'humain comprirent à qui ils avaient ici affaire.
Ils se prosternairent alors devant Athena, Juge du monde, des humains comme des anges, main droite de Dieu, ayant à présent tout pouvoir sur le devenir de leur amour.
Ils comprirent avec cela que leur bonheur était peut-etre compromit, qu'ils s'étaient trompés, semble-t-il. Alors, une peur emplirent leur coeur, prenant ainsi la place du bonheur qu'avait précédé.
Athena va rendre son jugement.

"- Voici un tribunal peu banal.
Commençons par l'ange s'il vous plait.
- Je vous écoutes.
- Vous vous êtes égarée sur Terre. Vous saviez que jusqu'à votre mort, vous ne pouviez pas retourner au paradis ?
- A vrais dire, je ne savais pas si ma mort y changerai quelque chose. Je savais que, vivante, il m'était devenu impossible de retrouver le paradis. Mais morte ... Non je n'en avais aucune idée. C'est de la souffrance dont je voulais me débarasser.
- Nous y venons. Vous vous êtes vous même donnée la mort n'est-ce pas ?
- Non ... Ce n'est pas du tout comme ca que je le vois.
- Non ?
- Non. Je suis un ange, j'ai atterit dans un monde humain. Mais les anges, tel que Dieu les a créés, ne peuvent vivre sur Terre, et vous le savez aussi bien que moi. Notez toute foi que j'y ai vécu assez longtemps. Et ce grâce à cet humain à coté de moi. Il m'a apprit l'espoir. J'ai espéré. Alors, je n'était pas heureuse, mais je n'était pas malheureuse. Je n'était pas optimiste, mais pas pessimiste. J'esperais, et je luttais, pour changer ne serait-ce qu'un peu la nature humaine. Mais il fut un moment où je perdis l'espoir. Alors, m'y accrochant autant que possible, je me suis mise a rêver. J'ai rêvé ... Rêvé ... Rêvé encore. Chaque rêve m'emplissait de bonheur, ce qui ne m'offrait pas l'espoir, je continuais à rêver. Au debut, je ne me rendais pas compte du contre-poid du rêve, car il ne m'emmenait pas loin. Puis, je rêvais de plus en plus, et bien sur, il fallait satisfaire l'équation de la justice que vous et Dieu avez posé ... Et à chaque rêve, il y avait du malheur, alors les rêves suivants devaient être plus forts pour contrer le malheur, et le malheur qui en resultait était encore plus grand ... Petit a petit, tout cela à contribué à éteindre ma lueur ... Comme une ampoule s'use lorsqu'on l'éteint et l'allume sans cesse ... Ma lueur était eblouissante puis semblait s'éteindre ... Jusqu'à ce qu'elle fusse eteinte ... Considérez vous réellement cela comme un suicide ?
- Ne conaissiez vous pas les conséquences de ces rêves ?
- Connaissez vous les conséquences de ce monde lorsque vous désirez plus que tout, conserver la pureté que vous a accordé votre créateur, et ce par amour même de votre créateur ? C'est, croyez moi, tres difficile. C'est impossible en fait ... On en meurt finalement ... Il n'y a plus d'autre possibilité que de rêver finalement ...
- Trouvez vous cela vraiment pur de s'éprendre d'un humain ?
- D'un humain tel que lui, oui. Il est au dessus de tous les autres humains. Et, bien qu'il soit naturellement bien en dessous des anges, il est conscient des vices qui lui restent, ce qui lui permet de les combattre, de les admettre, et, finalement, de les atténuer. Je me suis éprise de cet humain car certaines fois, il me faisait réellement penser à un ange ...
- N'est ce pas l'amour qui vous fait dire ca ?
- Vous avez la capacité de sonder mon coeur et mon esprit pour savoir d'où vient chacuns des mots que je vient de vous dire. Vous pouvez le faire, mais je puis vous dire avec une certaine assurance que mon esprit en dit bien assez plus que mon coeur pour que vous ayez confiance en mes paroles.
- Je vois ça en effet. Bien ... "

" - Passons à l'humain maintenant.
Vous avez commis une faute terrible en vous suicidant, et en vous éprenant d'un être qui ne devait pas être à votre portée. Qu'avez vous à dire pour votre défence ?
- Je ne considère pas cela non plus comme un suicide. Je ne suis pas mort pour mourir, je suis mort pour suivre mon amour. Elle est partie quelque part, j'ai voulu la suivre. Je n'ai pas fait cet acte pour ne plus vivre et pour abréger mes souffrances, j'ai fait cet acte pour suivre mon amour. Pour moi, me donner la mort était alors aussi normal que de la suivre dans un voyage par exemple...
Quand à mon amour, s'il est interdit, alors je n'ai rien à dire pour ma défence. Que pourais-je dire ? Je l'aime ... Plus que tout ... Pas par désinteressement pour gagner ma place au paradis bien sur (je suis de toute facon bien conscient que cette facon de faire est la meilleure pour finir en enfer) non, juste parcequ'elle est parfaite ... Je crois être le seul a avoir qu'elle était un ange ... Je savais les risques que je prenai ... Mais j'avais face a moi cette etre innocent en ce monde, d'une beauté envoutante, d'une perfection que je recherhais depuis tant ... Oui je l'aime, et si c'est un crime, je l'assume.
- C'est un crime.
- Alors je l'assume. Et ne le comprend pas ...
- Sache que la relation entre un ange et un humin n'a pour effet que de pervertir l'ange...
- Pas lui, dit l'ange. Des larmes coulaient le long de ses joues.
- N'intervenez pas s'il vous plait.
Bien que je vois dans votre coeur toute la pureté dont vous disposez, vous etes tout de même un humain, et vous avez des vices. C'est pourquoi toute relation ange/humain est strictement roscrite. C'est pourquoi egalement votre amour ne devrait-elle pas retourner au paradis, etant donné qu'elle a été visciée par votre contact. Toutefois, la durée de votre relation et la pureté de votre coeur me laissent penser que ... Peut etre ...
Bien ...
Voici donc mon jugement ... Sachez qu'il est irrévocable bien entendu.
- Commençons par vous, mademoiselle. J'ai sondé votre oeur, votre corp et votre esprit. Les quelques vices qui vous ont été transmis ne sont pas d'une grande importance, et ne sont pas contagieux. Par conséquent ils disparaitrons rapidement lorsque vous serez retourné au Paradis. Vous êtes donc libre. J'ai jugé que toute cette histoire a été entrainée par un accident, et que l'humain est en effet digne d'amour. Toutefoi, si, suite a un autre accident quelquonque, vous en venz a avoir une autre relation avec un autre humain, mon jugement a votre encontre sera plus sévère.
- Merci ... Merci ... Beaucoup ...

- A vous monsieur.
Vous avez enfreint de votre gré une règle primordiale de Dieu : avoir une relation avec un ange. De plus, j'ai sondé votre coeur, et même si vous disiez la verité, une partie de vous restait tout de même sceptique quand à l'avenir, et estimait que même si votre mort ne vous premettrait pas de suivre votre amour il valait mieux mourir pour s'arrêter que de vivre encore sans votre ange, ce qui, bien sur, est consideré comme une sorte de suicide.
Toutefois, il est clair que votre coeur est d'une pureté exceptionelle pour un humain, et, bien entendu, l'enfer ne vous est pas dédié.
Mais il est très important que vous sachiez que vous ne pouvez plus continuer votre relation avec l'ange. Nous allons donc redonner vie a votre corp matériel et vous retournerez sejourner sur Terre pour accomplir le reste de votre destiné.

Ainsi est le jugement irrévocable de Athena, Déesse de la justice "




A ces mots, les coeurs des deux amants accelera. La fin était la. La fin de leur histoire, la fin de leur rêve. Ils devaient maintenant se séparer a jamais. Lui, retourner sur cette planete qu'il haït tant sans celle qu'il aime, , elle, retourner au paradis sans son amour ... Ainsi finit donc leur histoire ... Sur ces mots ...


- Je ... Je suis content ... Que tu rentres au Paradis ...
- Ne le sois pas alors ... Car sans toi le Paradis sera pire que la Terre
- Je t'aime tellement ... Pourais-je tenir sans toi la bas ? Le pourais-je vraiment ?
- Oui. Tu m'oubliras. Te souviens tu de ce que tu me disais ?
- Oui ... Au debut, ce sera tres dur ...
- Puis, ca s'arrangera ...
- Et ce qui était triste s'effacera ...
- Et ce qui était gaie restera ...
- Sous forme de bons souvenirs ...
- Dans des moments de douce nostalgie ...
- Je t'aime mon ange ... Je t'aime tant ...
- Moi aussi je t'aime ...

" Il est temps, on y vas"

- Non ... Non ... Lachez moi ... Laissez moi rester avec mon ange ...
- Il ... Il part ...
- Lachez moi ... Juste quelques minutes ... S'il vous plait ...
- C'est ... C'est ... finit ... ?
- S'il vous plait, laissez nous nous parler encore ...
- J'aurais tant aimé ... L'embrasser ... une derniere fois ...
- Lachez moi ... Laissez nous vivre notre amour !!! Laissez moi la voir, au moins une dernière fois ...
- J'aurais tant aimé t'embrasser ... Encore ...
- Je t'aime mon ange !!!!!
- Moi aussi ... Je t'aime ... Mon amour ...


A jamais tu resteras dans mon coeur
Toi qui m'a offert tout ce bonheur
Toi qui a illuminé ma vie
Jamais tu ne sombreras dans l'oubli

Même loin de toi je t'aimerai encore

Toujours, tu resteras pret de moi.

Toujours, je resterai auprès de toi.

Je serai la ... Je le promets ...



Je t'aime ...

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11 novembre 2005

Voila le dernier texte (je pense) de l'histoire

fin_histoire

Voila le dernier texte (je pense) de l'histoire d'ange est écrit, un peu moins de deux mois après l'écriture de l'histoire dans son integralité...
J'ai donc modifié très très légèrement le texte original pour limiter les incohérences, car à la base, il n'était pas prévu de détailler certains passages.

Je m'explique maintenant sur cette histoire :
Elle est écrite à des moment ou l'esprit y pense, à des moments ou l'esprit est dans un état proche de celui de l'humain.
Elle permet de faire passer des réflexions et des avis sur le monde qui nous entoure, d'une maniere un peu plus fine que d'habitude.


Il est préférable de lire l'article histoire d'ange avant, puisque les autres articles ne sont que des passages de l'histoire générale, il sont donc encrés dedans. L'ordre n'a pas grande importance. En fait, lorsque l'on lit d'abord l'histoire d'ange, et ensuite les dialogues, cela s'apparente plutôt à des souvenirs, à des anecdotes ... C'est un petit peu dans cet esprit la que je l'ai écrit ... Alors le mieux je pense est de lire tous les articles du plus anciens (cest a dire l'histoire d'ange) au plus récent.
Mais libre a vous.
N'oubliez pas que les musiques ne sont pas la pour rien. Si la musique sur le premier dialogue n'est pas forcément des plus utile, celle sur le bonheur à deux l'est particulièrement.

Merci.

11 novembre 2005

- Qu'y a t'il mon amour ? C'est la première fois

desespoir_ange

- Qu'y a t'il mon amour ? C'est la première fois que je vois des larmes jaillir de tes yeux ...
- Je suis triste.
- Triste de quoi ?
- De voir ta lumière s'éteindre.
- Tu la vois encore ?
- Oui. Mais elle est sombre. Elle s'assombrit chaque jour ... Tu n'es pas à ta place ici, et cela m'atriste terriblement.
- Non je ne suis pas a ma place ... Mais je suis avec toi ...
- Je sais bien que ça ne suffit pas ... Espères-tu encore retrouver ton monde ? Espères-tu encore voir ce monde devenir meilleur ?
- De l'espoir ? Cela fait bien longtemps que je n'espère plus ...
- Cela fait bien longtemps que je vois ta lumiere s'assombrir après de courts éclats ...
- Alors tu vois mes rêves ?
- Oui je les vois ... Je voudrais bien ne plus les voir ...
- Ne veux-tu donc pas que je rêve ?
- Non ... Je t'ai dit qu le rêve n'était que la voie de la mort ...
- Comment veux tu que j'espère encore ?
- Tu ne le peux donc plus ?
- Y a-t-il encore de l'espoire pour ce monde ? Dit moi ... Y crois-tu vraiment ?
- Je veux y croire.
- Tu vois ... Tu essayes de te convaincre d'espérer, mais tu n'espères pas non plus ...
- Je m'accroche à mon espoir comme je le peux ...
- Regardes dehors ... Crois-tu qu'un jours, ils arriveront à se passer de leurs maisons grises, de leur fils noires, de leurs routes grises, de leur poteaux, gris, plus nombreux que les arbres ? Crois-tu qu'ils pourront se passer de leur argent ? Crois-tu vraiment qu'il est possible qu'un jour leur coeur devienne plus pure alors qu'il ne fait que se pervertir ? Crois-tu vraiment en cela ? Ou n'essayes-tu pas de survivre tant bien que mal dans le simple espoir de ne pas mourir malheureux ?
- Je suis de ce monde ... Je suis né dans ce vice ... Il est une partie de moi ... Mon espoir n'est pas à la hauteur de la purification complète de mon coeur, mais simplement à l'amélioration ... Je n'ai pas l'utopie de vouloir vivre dans un monde ou l'électricité n'existerait pas, car moi même, je ne pourrais pas y survivre. J'espère simplement un monde ou l'harmonie entre la nature et l'évolution, la nature et la technologie seront respectés. Car c'est la qu'est le bonheur. Et l'harmonie ne réside pas forcément dans la conformité. L'Homme est intelligent, il a l'intelligence d'utiliser ses facultés pour progresser sans cesse tout en respectant son environnement, car c'est de l'environnement qu'il est issu. Mais il a oublié cela. J'espère simplement qu'un jour l'homme retrouvera ses racines, et alors qu'il les respectera plus, pour son propre bonheur et pour celui de son créateur ...
- Crois-tu qu'a un tel point de vice il y parviendra ?
- Oui
- Tu es autant rêveur que moi.
- Non. J'ai espoir. S'il te plait ... Reprends espoir ...
- Il n'y en a pas ...
- Si.
- Je n'en suis pas capable ...
- Ta lumiere s'assombrit encore ...
- Je n'en peux plus ...
- Ne pleurs pas ...
- Si je pleure ... Encore et encore ... Je pleure le paradis que j'ai perdu, je pleure l'enfer que j'ai trouvé, je te pleure, toi, qui vit dans cet enfer et crois naivement en une apogée future, je pleure tous les gens comme toi de ce monde, qui ne méritent pas une pénitence pareil, je pleure cette planete qui meurt, je pleure l'ecureuil que j'ai vu sur la route, je pleure le regard perdu de cette biche qui me regardait, je pleure ce monde ... Je pleure ma perte, je pleure la fin de mon bonheur, je pleure mon erreur qui m'a conduit jusqu'ici, et je pleure notre rencontre, et je pleure notre séparation ...
- Quelle séparation ?
- Je ne survivrais pas à ce monde mon amour ....
- Tu y a survécus jusqu'ici
- Tu as vu ma lumière s'éteindre
- s'assombrir, elle n'est pas éteinte
- C'est pire ...
- Non ...
- Ecoutes moi cette fois ... Je vais m'en aller ... Je suis heureuse de t'avoir connu ... Tu étais mon seul bonheur depuis mon arrivé ici bas ...
- Non, ne dis pas cela ...
- S'il te plait ... Crois moi ...
- je t'aime ...
- Allons à notre jardin ...
- Oui ...
...
- Où est-il ?
- Non ...
- il n'existe plus ...
- Tu vois ? Il n'y a plus d'espoir ... J'aurais tellement voulu m'éteindre ici ....
- Tu ne t'éteindras pas sans moi.
- Tu veux m'accompagner ?
- Sans toi je ne suis rien. Je veux te suivre.
- Je t'aime mon coeur.
- Je veux mourir dans tes bras.
- Moi aussi.
- Viens.
- Je t'aime tellement ...
- Tu as été la plus belle rencontre qui me soit arrivée ..
- Toi aussi ... C'est grâce à toi si ce jour est arrivé si tard ...
- Tu m'as apporté tellement de bonheur ... Je t'aime ...
- Crois tu vraiment que la mort nous séparera ?
- Je suis humain, tu es un ange ...
- Mais je t'aime ...
- Nous verrons cela ... Je doute que ce soit suffisant ...
- Je l'espère ...
- Tu l'espère ?
- Ca je le peux oui ...
- Tu me manqueras ... A jamais tu seras dans mon coeur.
- Toi aussi ... Je t'aime ...
- Je t'aime ...
- Sers moi plus fort
- Oui ... Tu es si douce ... Si pure encore ...
- Je t'aime ...
- Je t'aime aussi.
- ...
- Mon amour ...
- ....
- Ca y est ....
J'arrive mon coeur ... Attends moi, ne pars pas encore tout de suite ...
- ...
- Voila ...

 

                   Je t'aime ...

                                          
                                                      Mon Ange ...

6 novembre 2005

- Fermes les yeux !- Pourquoi ?- Tu verras- Hihi

histoire_d_Ange_21_copy


- Fermes les yeux !014
- Pourquoi ?
- Tu verras
- Hihi ! D'accord !
- Allez on y va.
- On va quelque part ?
- Chut tu verras
- Maieuh je veux savoir !
- T'es curieuse !!
- Je suis pas patiente
- Attends encore un peu
- Rooooh !!! Je suis pas trop lourde ca va ?
- Non t'es toute légère mon coeur
- Hihi. Je t'aime
- Moi aussi je t'aime.
- On est arrivé ?
- Non pas encore.
- Je t'aime pu alors hihi
- Bon bon je me dépèche
- Hihi je t'ai eu
- Tu rêves.
- Ca sent bon ici.
- C'est vrai
- L'air est agréable. C'est bizarre
- Oui. On est presque arrivé
- Aaaaaaahhhhhhh enfin
- Allez ouvre tes yeux
- Oh !!!!!!!!!! Ca existe sur terre une chose pareil ?
- La où l'Homme n'est pas, oui
- C'est magnifique mon amour. Je t'aime ...
- J'aimerai vivre à jamais avec toi en ce lieu.
- Je le voudrais aussi.
- Ca ne paye pas de mine comparé au Paradis mais nous serions heureux !
- C'est comparable au Paradis ...
- Vraiment ?
- Oui. Mais au paradis, ces merveilles la, il y en a partout.
- Peut-être ne devrions pas y vivre alors. Je ne voudrais pas gacher ce coin si pure.
- Y vivre impliquerait d'amener de la présence humaine, et des machines, oui ...
- Oui. Gardons cet endroit secret. Sans y vivre nous pourons y revenir. Je t'aime mon ange.
- Je t'aime. Je veux revenir ici tous les jours !
- Nous reviendrons. Je te le promets. J'aime cet endroit autant que je t'aime, j'aime l'air qu'on y respire, j'aime l'odeur qui s'en dégage autant que j'aime être à tes côtés ... Etre avec toi en ce lieu divin m'offre le bonheur que je désirai depuis si longtemps ...
- Etre ici avec toi me rapelle le paradis, et me laisse toujours plus penser que tu pourrais être un ange, je veux être ici avec toi, et si je dois mourir, ce sera ici, avec toi, je t'aime.
.......
.....
....
...
..
.

2 novembre 2005

L'immoralité est-elle synonime d'immondicité ?

Qu'est-ce que l'immoralité ?
Qu'est-ce que la morale ?
La morale, c'est l'ensemble des regles, qu'on pourait qualifier de bien-séance, présentes dans notre société. La morale est donc ce qui nous dicte un minimum de comportement. Parfois elle est reprise par la loi, pour ce qui est de la morale implicant autruit (vole, tuer, etc ...), parfois elle ne la suis pas (impolitesse, hyppocrisie et autres traits de caractere).
L'immoralité est donc le fait de ne pas suivre cela. Elle peut s'arréter a la légalité des choses, mais elle peut aussi aller au dela de la loi.

Comment jugeriez vous l'hyppocrite ? Comment jugeriez vous l'impoli ? Comment jugeriez vous celui qui se réjouit du malheur de quelqu'un car il lui apporte de la joie ?

Sacré connard a premiere vu.

Mais plutot que de le blamer, ne devrions-nous pas le respecter et nous inspirer de son model ?
Le dit connard a réussit à s'affranchir de la morale (et avec cela du jugement des autres) pour son bonheur. A t'il des amis ? Oui, s'il est suffisement hyppocrite, ou s'il s'adapte a la morale tout en en contournant habilement les regles.
Est-ce vraiment immonde de vouloir etre heureux ? Le bonheur ne peut pas se faire avec les autres, or, la morale est TOUJOURS en relation avec les autres (a quoi peut bien servir une moral qui ne s'applique qu'a un individu pour une société ???? Cette morale existe bien sur, elle s'appel "principes", et elle consiste a s'auto privé de liberté, a se rendre soit même malheureu, bref je ne vais pas dire ici ce que je pense des gens qui ont des principes ca pourait vexer ^^ =p).
Le bonheur doit donc se faire seul, et dans une société, on est obligé d'avoir des relations. Bien, mais l'anti-moraliste n'aura pas d'amis, quoi qu'ils en pensent, il n'aura que des conaissances et ne s'en préoccupera pas. Et s'il le faut poura t'il faire semblant de s'en occuper. Tant que les problemes des autres ne lui tiendront pas a coeur, il sera epargné de leur malheur. Mieux vaut alors prendre du detachement des malheureux.

Alors l'immoral est il vraiment à decrier ?
Je ne crois pas. Il faut plutot crier HONTE A LA MORALE que HONTE A L'IMMORAL car s'il n'y a plus de moral, il n'y a plus d'obligations et donc moins de malheurs, et plus de franchise.

31 octobre 2005

Oh non !! C'est pas possible ! Non !!! Est-ce ben

decouverte

Oh non !!

 

C'est pas possible ! Non !!!

 

Est-ce ben vrai ?

 

Du goudron ! Des voitures ! Oui, c'est bien ca ! Je suis sur Terre !
Bon.

 

Ne paniquons pas.

 

Calme.

 

Dieu va pouvoir me ramener.
J'espère.
Je veux pas rester là moi !

 

Bon. Je doit rentrer en contact avec eux.
Raaaahh. Zut. J'y arrive pas.

 

Cette odeur ! Qu'est ce que c'est ?

 

Bon, essayons Gabriel.
Impossible.
je vais devoir me debrouiller seule.

Hein ?

 

Je ne peux plus voler ?
Non ...

 

c'est pas possible ! NON !

 

Je suis .... Bloquée ici ????

 

Dieu est donc aussi strict avec les anges égarés ?

 

Je dois donc rester dans ce monde imparfait ?

 

Bien ...

 

Il n'est peut-être pas si horrible quand on est dedans ... Finalement. Voyons ...

 

Quel bruit. Comment peut-on être detendu dans un bruit pareil ?
Et cette odeur ! les humains n'ont-ils donc aucun goût pour extraire de si mauvaises odeurs de leur voiture ?
Bon.

 

Alors voila une ville.
Bien.
C'est laid.

 

Et ils se contentent de cela ?
Ils n'ont donc réellement aucun goût !
Et c'est à croire que ca va de mal en pire.
Leur villes anciennent ont l'air pas trop mal. Ca n'égal pas les créations de Dieu, mais à leur niveau c'est remarquable. Ils ont raté leur évolution les pauvres.
Pourvu que Dieu lève ma pénitence rapidement.

 

Tient, quelqu'un.
"-Bonjour.
- Oh t'es qui toi pour m'acoster comme ca ?
- Euh excusez moi je n'ai pas bien comprit
- Vas-y tu te fous de ma gueule la ? Qu'est-ce t'as je suis pas habillé aussi classe que toi alors tu te crois superieure c'est ca ?
- Non pas du tout je ...
- Vas y donne moi ton pognon.
- Comment ?
- Tu resistes ? Attends je me ramene tu vas voir"

 

C'est ca la nature humaine ?

 

"- Bonjour ma demoiselle
- Euh ... Bonjour
- Un peu d'argent pour que je puisse manger et vivre ? S'il vous plait ...
- Vous avez besoin d'argent pour vivre ? Ce n'est pas gratuit de vivre ?
- Malheureusement ma demoiselle, ça le parait pour les gens aisés, et pour vous peut-être ... Mais pour un pauvre immigré comme moi, le seul élément essentiel de vie encore gratuit est l'air pur ... Et il se fait rare ces temps-ci ... Même quelques centimes ...
- Je suis désolée ... Je n'ai rien du tout ... Pardonnez moi...
- Oh ne vous excusez pas, vous n'y êtes pour rien, vous ... Au revoir ma demoiselle, soyez bien heureuse"

 

N'y a t'il donc que de la pauvreté en ce monde ?

 

"Alors Charles-Henry, où en etes vous dans vos placement ?"
"Et bien, j'ai perdu 100 millions chez vivendi, alors je vais replacer deux milliards chez bouygue cette fois car voyez-vous, 100 millions en moins ... Cela m'ennuye quelque peu"
"Oh ! Attention Charles-Henry, l'odeur d'un mendiant !"

 

Hmmmm non ...

Les gens sont aussi bizarres que ce qu'ils batissent ...

 

"-Ouahou regarde comment elle est fringuée celle la !
- Euh ... Bonjour ...
- Hé tu les as acheté ou tes vêtements ? Ils sont trop coooools c'est qui la star qui a lancé ca ?
- Je ne comprends pas ...
- Bah tes fringue t'as un look super mega cool ouahou top mieux que Britney Spears !!
- Ouais c'est clair allez dit ou t'as acheté ca moi j'ai Philippe à draguer demain, on va au cinéma on va voir Brice de Nice-hin
- Ouahou super cool comme plan drague la c'est clair il va te tomber dans les bras
- Surtout si je porte ses fringues avec le dernier gel de loreal et mon tout nouveau verni qui sent la pomme ce serai mega la classe quoi
- Ouais clair pareil pour moi allez dit t'as acheté ça ou ?
- Euh ... Et bien ... Très loin d'ici ... Ce genre de vêtements n'existe pas ici...
- Putain nan quoi merde c'est la cata ... J'AI RATE MA VIE de toute facon allez vient on va se crever
- ouais OK-hin"

 

Est-ce vraiment cela que Dieu a créé ?

 

"- Yo vas y cette fois j'ai ramené mes potes
- Ouais on va lui demonter sa gueule a l'autre pétasse
- OK on lui pique son fric les mecs
- Ola stop attendez
- Quoi ?
- La bas y a un couple de friqués
- Ah ouais hé ils sont plus mieux qu'elle !
- Yo les taffioles
- Charles-Henry ces gens sont insupportables, ils me perturbent
- Ouah tu vas voir ta geule toi sale p***"

 

N'y a t'il donc pas de gens normaux ? ...
Bien ... Je vais avancer un peu, espérons ...




 


Pfff toujours aussi moche cette ville !
Bon allez, c'est pas tout ca mais j'ai du boulot à la maison, pi j'ai faim d'abord ! Oups le train va partir faut que j'y aille

 

rraaaaaaaahhhhhhh et merde
Bon ben le prochain ... Dans une heure.
"Bonjour jeune homme
- Bonjour monsieur
- Un peu d'argent pour que je puisse manger et vivre ? S'il vous plait ...
- Attendez je regarde ... J'ai pas grand chose désolé ...
- Quelques centimes suffisent ...
- Voila tout ce que j'ai sur moi
- Merci monsieur ... "

 

Pfff en plein hiver le pauvre ... Y en a qui devraient se bouger un peu quand même plutêt de se pavaner sur TF1 ! Fin bon depuis le temps qu'on se bat ... Mais on continuera !
Ouarf il fait froid quand même !

 

'- Regarde moi ce type
- mdr la dégaine qu'il a
- p'tain lui il est pas cool ca c'est clair !
- Hé ringard !
- Et allez encore deux pouffes ... Merde ça sent le verni a la pomme et le parfum a la guimauve a 100 metres y a de l'abus quoi !
- Ooooooohhhhh le regard de chien battu il est malheureux ? On l'a vexé ?
- Pff j'ai plus important à penser que vos sarcasmes idiots si je me vexais quand l'intelligence inferieure se fou de moi je serais mort ... C'est même plutêt flatteur ... Et drole ..."

 

Bon je vais aller faire un tour je vais pas glander devant la gare comme ça hein.

 

Oh ...
Non .....
C'est .........
Possible ........... ?

 

"-Euh ... Excusez moi.
-Hmmm ? (qu'est ce qu'il va avoir de bizarre cet humain la encore)
- Je ... Vous .... Tu ..... ?
- Hihi
- Excuse moi mais ... Tu vas croires que je te drague bien sur, et pourtant c'est pas le cas du tout ...
- Draguer ?
- Tu brilles à mes yeux !
- Je ... Je brille à tes yeux ?
- Désolé c'est idiot ... Un ange, non voyons ca n'existe pas.
- Un ange ? Tu vois un ange en moi ?
- Je t'assure que je ne te drague pas, mais ca m'a parut tellement flagrant ...
- Alors Dieu n'a pas totalement raté son oeuvre ... Il ya encore un minimum de pureté ici bas ?
- Euh ... S'il en est un minimum il est au plus bas de ce qu'on puisse trouver !
- Je suis contente de t'avoir rencontré
- J'en suis heureux ... Un ange ... Ta lumiere est si belle ...Ton visage ...
- Tu trouves ?
- ...........
- .........
- ......
-....
-...
...
...
...

 

...

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